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Par Framboise1958 le 12 Octobre 2021 à 16:55
Le coup de foudre,
Comment décrire ce que je ressens
Je me remets le film
De cette rencontre renversante
Le coup de foudre
Pour cet être aimé sans le savoir
Pour cet homme si doux aux yeux noirs
Si secret, si porteur d’espoir
Je l’aime et je le connais si peu
Juste son regard, la douceur de ses mains
Juste son sourire, le son de sa voix
Et ses yeux posés sur moi
L’amour m’est tombé dessus
Lui que je n’attendais plus
Que je ne voulais plus
Pour ne plus souffrir, pour être libre
Car maintenant je suis attachée à toi
Mon cœur tu l’as pris et emporté au loin
Et que me reste-t-il maintenant ?
Car tu as tout brulé sur ton passage
Un coup de foudre, un coup d’amour
Je ne vis que pour te revoir
Être dans tes bras
Tout contre toi
Savoir sans le voir
Que toute ma vie changerait
Que cette rencontre n’était pas anodine
Qu’il y aura un avant et après
Et que maintenant il me reste le temps
Le temps t’attendre
Un signe, un geste
Pour que tout recommence
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Par Framboise1958 le 3 Octobre 2021 à 20:26
Amour platonique
Tout nouveau pour moi
Vivifiant, tonique
Qui m’emporte hors de moi
Cet amour fort et fou
Que j’ai pour toi
Tout est permis
Car tout est dit
Toi là bas et moi ici
Car jamais nous ne serons ensemble
C’est un amour platonique
Juste dans mes rêves tu viens
Je peux tout imaginer, sentir
Je peux t’aimer aussi fort que je veux
Puisque rien ne m’arrête
Pour cet amour sans fin sans sexe
Si beau si pure
Rien ne peut assombrir
Ce doux sentiment
Aimer sans toucher l’être désiré
Juste en pensée
Juste en douceur
Du regard, de la voix
Que je t’envoie mon amour en plein cœur
Une liberté sans soucis
Sans tracas ni obligations
Juste ce sentiment qui sent bon
Un univers de romantisme parfait
C’est le cadeau de la vie
Aimer et ne rien attendre en retour
Que celui de t’aimer
Et pour toujours ….
Françoise 15/02/08
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Par Framboise1958 le 19 Septembre 2021 à 21:23
Dernier souffle
Ce matin mon cœur s’est arrêté
Il s’est arrêté de battre
Vidé de tout son sang
Il a lutté comme il a pu
Contre la souffrance, la maladie
L’ignorance, le dépit
L’envie de vivre et de mourir aussi
Je le voyais s’élancer dans des histoires sans fin
Je le sentais s’emballer pour des illusions
Le rêve et la réalité sont bien à l’opposé
De toute considération humaine
Ce matin dans un dernier souffle
Il a rendu les armes contre ce monde
Inhumain, décadent et violent
Il a cessé de battre calmement
Mon corps à présent vide de sens
N’as plus de but précis
Il erre dans cette grande ville
Seul et inutile, inconscient
Je ne resens plus rien
Amour , passion, froid, ennui
Plus rien en moi
Si ce n’est ce vide immense
Je suis comme tous les autres
Un être sans vie, sans sentiments
Sans joie ni peine
À l’image de ce monde ….
Françoise 26/02/07
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Par Framboise1958 le 17 Septembre 2021 à 20:49
Pensée d’ourson,
Dans ce grenier sombre
Rempli de poussière et de souvenir
Je l’ai aperçu
Toujours fidèle
Lui mon ami de toujours
Lui le petit garçon de la maison
De mon œil restant je le vis
Il me regarde surpris
Surpris de me revoir là
Après tant d’années
Oui mon ami je t’attendais
Pour que tu viennes me chercher
Car je me souviens
De nos jours passés
A nos rires et à nos pleurs
Lorsque la nuit venait
Et que moi seul
Je savais te réconforter
Dans ton grand lit
Froid et triste de l’enfance
Quand partout je te suivais
Fidèle comme un chien
Je faisais ta joie
Et c’est avec moi que tu partageais
Tes plus grands secrets
Oui moi ton ami l’ourson
Moi ton ami
Ton ami en peluche
Et si après tant d’années
Tu reviens me voir
C’est qu’un besoin se fait sentir
D’être à nouveau à mes côtés
Et tout content d’être prés de toi
Je te ferais la fête
Si enfin tu me prends dans tes bras
Dans tes bras d’homme maintenant
Car pour moi tu resteras toujours le petit garçon
Que j’aimais tant
Celui qui tendrement me serrais contre lui
Dans la profondeur de la nuit
Françoise, 02/06/04
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Par Framboise1958 le 16 Septembre 2021 à 22:28
Ivresse d'un soir
Je bois pour oublier
Je préfère boire que souffrir
Et voir cette vérité qui me fait souffrir encore
Ce soir je préfère oublier tout
Dans ce verre ambré et doux
Le liquide coule doucement dans ma gorge
Je voudrais que tout s’efface
Je voudrais que tu m’enlaces
Mais je suis seule avec ma peine, mon désespoir
Ce soir je bois pour oublier, pour t’oublier
Pour ne plus souffrir il y a cette bouteille
Qui n’est pas mon amie, mais toi non plus
Et l’ivresse vient doucement mais sûrement
Accent circonflexe, joli réflexe
Je m’en moque, je veux le noir, le trou où finir à jamais
Je bois ce soir pour m’enfuir de cette réalité qui me fait vomir
Toutes mes espérances, adieu la chance
La bouteille roule vide comme moi, bonne nuit
Framboise, 27 décembre 2012
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